Un hommage numismatique à Simone Veil avec cette frappe dorée à l'or pur !
- Icône de la lutte pour les droits des femmes !
- Qualité de frappe Belle Épreuve !
- Livrée avec son certificat d'authenticité !
Un hommage numismatique à Simone Veil
Cette frappe dorée à l'or pur bénéficie de la plus haute qualité de frappe "Belle Épreuve" (BE) et rend hommage à Simone Veil, ancienne déportée, ancienne ministre de la santé et femme politique, décédée en juin 2017.
Sur l’avers de la frappe est représenté avec une extrême précision un portrait de Simone Veil, sa signature, et des étoiles symbolisant cette figure de la construction européenne. Une pièce indispensable à tout collectionneur passionné par l’histoire de notre pays !
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Réf. | 3333930113 |
Métal | Cuivre doré à l'or pur 999‰ |
Qualité de frappe / État de conservation | Belle Épreuve (BE) |
Dimensions | 40 mm |
Poids | 30 g |
SIMONE VEIL
Femme politique française
Fille de Jean et Yvonne Jacob, Simone Veil est née le 13 juillet 1927, à Nice. En 1940, sa famille juive laïque subit le nouveau statut des Juifs, son père, architecte, ne pouvant travailler, Simone rejoint son oncle à Carcassonne. De retour à Nice, elle passe son baccalauréat en mars 1944. Arrêtée peu après, elle est déportée avec sa mère et sa sœur, à Auschwitz-Birkenau, le 15 avril 1944. Ayant survécu avec ses deux sœurs à la déportation, mais pas ses parents, ni son frère, Simone rentre à Paris en mai 1945 où elle s’inscrit à la faculté de Droit et à l’Institut d’études politiques. Elle rencontre Antoine Veil qu’elle épouse en 1946. Ils ont trois fils.
Après avoir obtenu une licence en Droit et son diplôme de l’IEP, en 1956, Simone réussit le concours de la magistrature et obtient un poste dans l’administration pénitentiaire au ministère de la Justice. Nommée à la Direction des Affaires civiles en 1964, elle est conseillère du ministre de la Justice dès 1969. Devenue secrétaire générale du Conseil Supérieur de la Magistrature, elle entre ensuite au conseil d’administration de l’ORTF. Nommée ministre de la Santé du gouvernement de J. Chirac en 1974, elle présente au Parlement un projet dépénalisant l’IVG. Finalement adoptée, cette loi dite Veil entre en vigueur en janvier 1975. Après la victoire de l’UDF aux élections européennes de 1979, elle quitte le gouvernement et est élue présidente du Parlement européen. En 1982, elle dirige le service juridique puis préside le groupe Libéral du Parlement européen. Nommée ministre d’État des Affaires sociales, de la Santé et de la Ville en 1993, elle devient en 1998, membre du Conseil constitutionnel.
En 2008, elle publie son autobiographie «Une vie» et est élue à l’Académie Française. Décédée le 30 juin 2017, Simone Veil, grande dame de la politique française, sera inhumée au Panthéon.